Trail du Mont Sarrazin et Semi-marathon d’Orleans

C’est sur le terrain de jeu bien connu du PNRT que 5 membres du club se sont élancés dimanche matin, pour le trail du Mont Sarrazin à Saint-Pierre-lès-Nemours.

11km et 24km pour les plus courageux. Singles, chemins sur un terrain sec donc rapide, avec la fameuse descente dans le sable pour soulager les cuisses : Un trail toujours aussi séduisant.

Sur le 11km, pour 228 concurrents :

  • Anthony Jean termine 20ème en 57min54s (9ème SEM)
  • Bruno Duyck termine 110ème en 1h12min25s (22ème V2M)
  • Jonathan termine termine 122ème en 1h13min48s (35ème SEM)
  • Myriam Cueille termine 133ème en 1h15min13s (3ème V1F)

Sur le 24km, pour 145 concurrents :

  • Xavier Ibanez termine 119ème en 2h50min29s (39ème V1M)

De son côté, Laurent Bourgoin courrait à Orleans, à l’occasion du semi-marathon. Il termine l’épreuve 136ème/393 en 1h38min25s (51ème V1M).

Bravo à nos 6 coureurs du dimanche.

Marathon Seine-Eure

C’est ce dimanche 14 octobre que se lançaient Fabrice Mandreux et Franck Dupré leur défi : Battre leur chrono sur marathon.

Résumé de la course par les 2 protagonistes :

Fabrice :

« 6h30, réveil. Après un dur apéro la veille au jus d’abricot, la nuit se termine pour laisser place au jour J. Eh oui Vincent, nous ne t’avons pas écouté et avons laissé la gnôle au placard.

Petit déj en silence pour essayer de ne pas réveiller les enfants. Rassemblement des affaires, 15 vérifs pour être sûr d’en emmener trop puis départ.
 
On s’aperçoit très vite que l’orga est rodée. En arrivant aux navettes, quasiment pas d’attente, ça dépote ! C’est propre et fluide.
 
Arrivés sur le départ largement en avance, nous avons le temps de nous préparer tranquillement avant de déposer les sacs aux consignes. Allons trottiner un peu… Il fait bon, pas froid, ciel dégagé, des conditions de départ optimales. Du coup je me dis déjà que dans 3 heures, le temps sera presque estival.
 
Quelques accèl tranquilles et nous allons nous placer sur le départ, à 2-3 mètres de la ligne.
 
A ce moment défilent 10 semaines d’entrainement, avec tout ce que ça a pu impliquer (organisation, souffrance, vie familiale, professionnelle,…), à une vitesse… bah, de la pensée !
 
9h30, départ.
 
Un départ agréable, à la « fraîche », sans bousculade, où le rythme travaillé auparavant se prend très vite. Je pensais partir doucement, en 4’10 / 4’15 et ça sera en 3’58 pour le premier kilo. Nous avançons comme dans une petite vallée, colline à droite et à gauche, alternant passages ombragés et ensoleillés. Le premier ravito arrive, à ne surtout pas louper car je sais déjà que le soleil fera son effet sur la fin. C’est donc dès le début qu’il faut s’hydrater ! Par la suite je n’en louperai pas un seul.
 
Les routes sont larges, tout est bien dégagé. Même en arrivant à louviers, au 10ème le centre-ville est bien libéré et sur une grande distance puisque qu’en sortant nous serons déjà au 17ème. Direction St Pierre du Vauvray au travers d’une grande courbe de 6km à l’ombre.
 
En sortie de St Pierre, supportrices en vue !! Nos familles sont là, une surprise puisque l’on avait parlé du 30ème. Quel bonheur !! Ça, ça re-booste ! Le sourire se dessine sur un visage déjà entamé par 24 km et 1h35 de course. Plus de la moitié abattue et du coup un objectif : le 30ème. Celui-ci arrivera du coup assez vite et se passera en à peine 2h. Nous sommes ensemble avec Franck à ce moment-là et retrouver nos femmes et nos filles donne lieu à une belle série de photos souvenirs.
 
Je me dis qu’il ne reste plus que 12 bornes et qu’on est dans les temps, ça va le faire, j’y crois ! C’est vrai quoi, qu’est-ce que c’est que 12 bornes ?? Eh bien il s’en passe des choses en 12 bornes…
 
Pas de coup mou franc mais à partir du 33ème je sens que l’énergie a diminué, très légèrement… Au 35ème, encore un poil de plus…
 
Au 37ème, début du tour de l’étang qui est cela dit en passant très joli. Cela empêche peut être en partie de penser au vent et au soleil qui eux, sont bel et bien présents. Avec le recul, je ne m’en suis pas rendu compte, mais il a fait son effet, cumulé avec la fin de course. A ce moment-là on compte les kilos restants.
 
Au 41ème, regain d’énergie, la foulée se relance et je fais l’analogie : 1kilo, 4mn…
 
Les 200 derniers mètres (ou plutôt 400) sont du pur bonheur ! L’arrivée est là : une belle arche bleue au bout d’un tapis rouge qui nous tend les bras. Le but, l’objectif réalisé d’une préparation intense et volumineuse, la destination finale, cette émotion du passage de la ligne qui n’appartient qu’à soi. Puis ce plaisir de le partager avec Franck et nos familles qui sont là et sans qui l’aventure ne serai pas la même.
 
12h21mn22s, arrivée. »
 
 
Franck :
« Nous voilà au pied du mur. Le départ va être donné dans quelques minutes et avec Fabrice, nous sommes bien placés, pas très loin derrière les élites.
L’échauffement a été sérieux, c’était indispensable car depuis un peu plus d’une semaine, un mal de dos m’angoisse. Pas possible de rater encore une fois ce marathon après une telle préparation.
Heureusement, ça a l’air d’aller ; pourvu que ça tienne 42km195.
C’est parti … je respecte scrupuleusement le rythme (rapide) que j’avais prévu. Au bout d’un km fait avec Fabrice, je passe devant. Les km défilent au rythme que j’avais pris soin d’imprimer sur mon bracelet d’allure.
Il fait chaud. Déjà à l’échauffement nous étions en sueur (14 octobre en Normandie !!!). Nous passons avec bonheur à l’ombre de temps en temps, c’est plus supportable.
Jusqu’au 18ème, tout se passe comme prévu mais je trouve que je suis un peu fatigué… au 20ème, je comprends que tout ne va pas se passer sans encombre. Pour autant, je garde le rythme, juste un léger retard de quelques secondes sur mes prévisions. Je passe le semi plus fatigué qu’à Tinqueux alors que je mets 3’ de plus. Hélas ça se confirme au 24 ! Je ne suis plus dans le rythme. Le rêve de 2h50’ s’est envolé et je vise mon objectif de 2h53’. J’y crois …
Tiens, qui passe à côté de moi avec un mot d’encouragement un peu avant le km27 ? Fabrice ! Je m’accroche à lui. Un second souffle peut arriver… je tente !
Je perds un peu de temps au ravito du km30 et quand j’essaie de reprendre les quelques mètres de retard, les mollets se durcissent. Aïe, ça sent les crampes ! Je ralentis pour éviter de les déclencher. La fin va être dure. Et je ne m’imagine pas ce qui m’attend du 36 au 41 où le rythme deviendra catastrophique. Ce qui est moins traumatisant, c’est que je continue à doubler les coureurs de l’Ekiden et que je conserve ma place au marathon ! Tant mieux, ça évite le coup supplémentaire au moral.
Arrivé au km 41, je décide de remettre les gaz. Je veux absolument arriver avant 2h55’ et je suis perdu dans mes calculs !
Les mollets tiennent et j’arrive à retrouver une allure normale. La petite accélération à la fin pour gagner quelques nanosecondes et c’est fini. 2h54’26’’
Au moment de passer la ligne, j’hésite entre la déception de ne pas avoir atteint l’objectif et la joie d’améliorer mon record.
Je tombe dans les bras de Fabrice qui m’attend à l’arrivée. Comme deux stars, on répond aux questions du journaliste qui couvre l’épreuve. Nous voilà à la télé sur la chaîne Normande et sur l’écran géant.
Les couleurs du PNRT sont à l’honneur !

Une belle aventure … et surtout une complicité avec mon jumeau qui resteront gravés dans ma mémoire.

Normal qu’il aille vite ce Fabrice … il vole !
Plus que quelques mètres … quel bonheur de boucler la distance.

Bravo à nos 2 champions !

20km de Paris

C’est à Paris que se sont croisés Jacqueline Vandrebreck (nouvelle arrivée au PNRT) et Fred Rivière, entre 2 gobelets sur l’un des ravitaillements du 20 km de Paris.

Plus de 26 000 coureurs pour cette édition où le soleil a dominé par sa présence tout le long du parcours, en partant du Trocadero pour venir terminer sous la tour Eiffel.

« Les 20 kms de Paris se sont bien passés. J’ai mis 2h02min22s, temps officiel. Bonne ambiance et parcours sympa.. Paris c’est magique. Merci à Laurent pour ses conseils que j’ai tentés d’appliquer.. J’ai pensé au souffle qui manque à certains et que j’ai la chance d’avoir.. . Ça m’a effectivement boostée. »

« 20 km dans une ambiance sympa. Au final un temps de 1h56min37s, avec des douleurs au tibia sur les 8 premiers km. Après RAS, mais de grandes lignes droites que je n’ai habituellement pas sur les trails. Vu le manque d’entraînement sur ce type de terrain je suis plutôt satisfait du résultat. »

Félicitations à eux 2 !

Lyricantrail de Larchant

Tres beau temps ce matin sur Larchant pour les 500 participants répartis sur les circuits de 12km pour 375D+ et 23 km pour 900D+
Les organisateurs avaient cette année changé le sens du circuit et trouvé quelques nouvelles côtes qui ont bien marqué les organismes.


De nombreux podiums pour le PNRT, notamment chez les femmes :

Au classement du 12 km, sur 228 arrivants :

  • Olivia Dufresnoy termine 68ème en 1h22min49s (3ème SEF)
  • Myriam Cueille termine 90ème en 1h26min31s (2ème V1F)
  • Anne-Marie Chèvre termine 97ème en 1h28min25s (1ère V2F)
  • Bruno Duyck termine 98ème en 1h28min27s
  • Eric Parmentier termine 198ème en 1h49min40s

Sur le 23 km, sur 222 arrivants :

  • Valentin Benard termine 8ème en 2h09min37s
  • Hervé Chauris termine 17ème en 2h20min54s (3ème V1M)
  • David Chéron termine 24ème en 2h24min21s
  • Pascal Benard termine 33ème en 2h26min54s (3ème V2H)
  • Anaïs Pasqualini termine 38ème en 2h30min08s (1ère V1F)
  • Frederic Silvain termine 55ème en 2h35min09s
  • Vincent Billard termine 66ème en 2h38min33s
  • Stéphane Martin termine 92ème en 2h47min03s
  • Christelle Level termine 134ème en 2h56min53s
  • Michel Rohr termine 135ème en 2h56min56s
  • Christophe Poncelet termine 194ème en 3h18min51s
  • Maud Person termine 199ème en 3h19min25s
  • Bruno Detilleux termine 206ème en 3h26min44s
  • Celine Parmentier termine 209ème en 3h29min12s
  • Aurore Benauw termine 212ème en 3h31min38s
  • Carole Benard termine 217ème en 3h47min07s

Bravo à nos 21 coureurs !

Run in Lyon

Première pour Sylvie Dubois, nouvelle  adhérente au club, qui participait ce dimanche à Run in Lyon, un semi-marathon au coeur du centre-ville.
 
 
« Cela va faire 1 an à quelques jours près que je cours. Je suis contente de ma course, en 2H11, moi qui n’était pas sportive pour un sou !!  les 15 premiers km se sont bien passés, je n’ai pas vu le temps passer mais j’ai commencé à avoir mal au genou gauche à partir de là (je ne suis pas habituée à courir sur le bitume) et du coup ça m’a fait ralentir… Niveau cardio j’étais bien, c’est vraiment ce genou qui m’a handicapée. »
 
Une première qui en appelle d’autres…
Félicitations.